L’étude parue début juillet est alarmante car elle démontre que la composition de ces protections féminines est dangereuse pour la santé. Ces métaux sont connus pour perturber le système endocrinien.
Des protections bio sont aussi concernées
Ces tampons représentent un réel danger pour la santé. Des métaux comme le chrome, le zinc, l’arsenic, le plomb, le cadmium ont été retrouvés après analyse. Ils attaquent le système neurologique, provoquent ou aggravent des maladies physiques. Ils peuvent même accroître les risques de cancers, de diabète, endommager les reins, le foie, le système cardiovasculaire. Ils provoquent également l’infertilité.
Selon les propos de la scientifique qui a effectué l’étude « la peau du vagin a un potentiel d’absorption plus élevé que les autres parties du corps ». Le plomb inquiète tout particulièrement car il a été retrouvé dans les tampons hygiéniques. Les protections bio ne sont pas épargnées. Elles contiennent moins de plomb mais plus d’arsenic que les tampons classiques.
Un impact sur la santé sur le long terme
Les serviettes hygiéniques jetables restent le type de protection les plus utilisé en France. En deuxième position, on retrouve les tampons, plus de 20% des femmes y ont recours en période menstruelle. Ces produits peuvent s’avérer dangereux pour la santé. Une toute dernière étude démontre la présence de métaux toxiques. L’équipe qui a procédé à l’étude a en effet découvert une grande quantité de métaux toxiques dans la composition de certains tampons hygiéniques.
Le plomb est problématique car il peut se retrouver dans la circulation sanguine et avoir un effet négatif sur la santé. Il affecte les reins, le foie, le système immunitaire, reproducteur, le cerveau. Les scientifiques espèrent que les fabricants vont mieux contrôler leurs produits désormais.
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